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Développement personnel

30 leçons apprises par Marion Seclin en 30 ans

Marion a eu 30 ans il y a quelques jours, et c’est l’occasion pour elle de dresser un bilan des 30 choses qu’elle a pu apprendre durant ces dernières années.
Tu connais peut-être la newsletter de Marion Seclin : Echec Réussi.  Tu pourras aussi retrouver son texte sur Rockie. Eh ouais, on est comme ça, on aime quand le talent est partout, que veux-tu. Et si tu veux la recevoir directement dans ta boite mail, tu peux aussi t’y abonner.

Tous ces jours passés dans ma peau m’ont permis de dresser une liste de choses que j’ai apprises. J’en ai choisi trente, une pour chaque année où mon cœur a battu plus ou moins fort.

1 – Être adulte est un mythe

Je t’en parlais dans « C’est pour bientôt », mais on n’a à aucun moment de sa vie la sensation qu’on a passé un palier, et qu’on connaît toutes les conséquences de nos actes.

On continue à faire semblant qu’on sait ce qu’on fait, mais on sait jamais vraiment. On n’est jamais vraiment adulte, même si aujourd’hui je sépare le blanc des couleurs quand je fais une machine, alors que j’ai passé la quasi-intégralité de ma vie à m’en foutre royalement.

On reste toujours un enfant qui vit à tâtons, qui essaye, qui échoue et qui recommence ou qui change de chemin. Et cette posture confiante et assurée qu’ont les adultes plus adultes que moi, je sais que ce n’est qu’une façade.

Mais le titre honorifique d’adulte est un leurre, et après tout, peu importe, tant qu’on à un an de plus chaque année.

 2 – Ce n’est jamais bon de garder de la colère

La colère, et principalement parce que je suis une femme, est une émotion qu’on m’a toujours appris à réfréner. Je ne devais pas être celle qui dérange l’ordre, celle qui exprime son mécontentement.

La paix des autres devait avoir plus de valeur que ce que je ressentais. Et quand j’ai compris que c’était une belle connerie, et que la colère devait sortir quand elle était là, j’ai fait un pas de plus vers moi.

Dedans, la colère devient un volcan endormi qui peut faire des ravages quand il se réveille. Dehors, la colère est un orage qui passe.

J’ai vécu trop d’années à trouver des excuses à tout ceux qui me blessaient, à leur inventer des circonstances atténuantes ou à ne jamais leur faire de procès d’intention, que j’ai oublié de m’exprimer et d’épouser ma colère comme une émotion viable. Maintenant je n’ai plus honte d’elle. C’est ça qui l’apaise.

3 – Faire semblant qu’on est astigmate quand on ne l’est pas est une mauvaise idée

Quand j’étais petite, j’étais discrète. J’avais à cœur d’attirer l’attention en m’inventent des maux de partout. Un jour, ma grande sœur a dû porter des lunettes, et il était hors de question que je n’aie pas, moi aussi, un problème de vue.

Chez l’ophtalmologiste, j’ai simulé l’astigmatisme. Si bien que j’ai eu des lunettes. Pas à ma vue, puisque j’avais de très bon yeux. Et je porte ce lourd secret depuis mes huit ans.

Vingt-deux ans que mes lunettes me donnent des migraines. Vingt-deux ans que j’ai peur de l’avouer à mon ophtalmologiste pour qu’elle vérifie réellement ma vue et qu’elle me prescrive, ou non, des verres qui me correspondent.

4 – Mon corps sait toujours tout avant mon cerveau

Mes tripes savent, et ce, longtemps avant que mon cerveau ne comprenne ce qui se passe. Au début j’ai mis mes nausées occasionnelles sur le compte de mon alimentation.

Et quand j’ai eu ma première crise d’angoisse et que j’ai passé ma nuit à vomir, alors que c’est ma seule phobie, je n’ai pas pu l’ignorer plus longtemps. Dans mon ventre, mon instinct et mes tripes réfléchissent, et mon inconscient envoie des messages à mon conscient par le biais de mon véhicule corporel.

Je n’ignore plus ces messages, et je travaille pour aller toujours dans le sens que me soufflent ces stimuli. Maintenant que je sais ça, je ne me fait plus avoir par des crises d’angoisse. J’ai aligné mon corps et mon esprit, sans yoga, sans retraite, sans exercice autre que d’écouter ce qui se passe.

5 – Mes traumas et mes blocages ne doivent pas peser sur les autres

C’est la plus vieille histoire du monde. On vit, on fait confiance, on aime, on se fait avoir. Alors on perd confiance, on s’en veut, on se ferme. Comme on a peur, on se retient de vivre des choses, et on met tout sur le dos du cœur brisé. Et on finit par avoir vécu toute sa vie dans la crainte de se faire blesser.

Donc on n’a pas donné accès à notre nous à quiconque. Et bien, c’est une belle erreur que j’ai souvent réitérée, probablement inconsciemment et aussi par flemme de comprendre pourquoi j’avais peur.

On est tous un cœur brisé, on est tous des humains blessés, on a tous des traumas. Et comme ces incidents et souvenirs m’empêchaient de me lancer à cœur perdu dans des relations quelles qu’elles soient, j’ai décidé de soigner mes bobos pour ne pas faire peser sur un nouvel humain les erreurs des autres.

Alors je prends davantage de risque à chaque fois, je ne retiens rien, je me dévoile sans honte, sans fard, sans posture. Et si, en face, l’autre utilise ma vulnérabilité pour m’écraser, alors c’est que cette personne a elle-même trop d’insécurité pour être bienvenue dans ma vie.

Oui, je prends plus de risques, parce que je n’ai plus peur d’être blessée. Parce que je veux donner à chaque individu la chance de me prouver que mes entailles peuvent guérir. Parce que je veux dorénavant voir chaque personne pour ce qu’elle est, plutôt que de lui faire subir les coups de poignards du passé.

De mon côté je ne veux plus faire pousser mes relations avec de l’eau tiède. Donc c’est tout ou rien. Même si parfois ça pique encore de se faire maltraiter, ou mal aimer. C’est moi qui me guéris, et personne ne doit porter mes insécurités à moi.

6- La douleur physique n’est pas un muscle, mais une jauge

Et c’est l’inverse pour la douleur émotionnelle. À trente et quelques tatouages, laisse-moi te dire qu’on ne devient jamais plus résistante à la douleur, mais qu’on grille nos cartouches de serrage de dents au fil des serrages de dents.

Cependant, me concernant, plus je me prends des petits taquets de la vie dans les tibias, moins ils me font mal longtemps. Et je préfère ça que l’inverse.

7- Personne ne fait rien contre moi

L’intention des personnes qui me blessent n’est jamais de me blesser. Et c’est pour ça qu’il est indispensable de dire quand je me sens heurtée. Mais comprendre que personne ne fomente des plans machiavéliques pour me nuire m’a apaisée.

Ça ne veut pas dire que je ne réagis pas parce que je suis victime de maladresses ou d’incompréhensions. Ça veut juste dire que j’ai abandonné ma légère paranoïa, au profit de conversations.

8- L’hypersensibilité est un hyperpouvoir

Ça, je n’en ai jamais douté, étonnamment. J’ai toujours lu tout un tas de témoignages de personne hypersensibles meurtries par la difficulté de tout ressentir fort dans un monde aussi anesthésié que le nôtre, et dans lequel l’émotion est invitée à se cacher de honte.

Pourtant, je savais que cette hypersensibilité me faisait aussi et surtout ressentir tout le beau du monde plus fort aussi. Si je vis tout plus intensément, alors la joie, l’amour, l’espoir, je les expérimente profondément tout autant. CQFD.

9- Je ne ferai jamais l’unanimité

Ça n’a jamais été mon but, mais je m’étais imaginé que les personnes qui n’étaient pas d’accord avec moi auraient l’intelligence de simplement passer leur chemin.

Je ne mettrai jamais tout le monde d’accord, et c’est tant mieux. Je ne désire pas être tiède, versatile et adapter mon discours à mes interlocuteurs dans le seul but d’être appréciée.

Je n’existe pas dans le but d’être appréciée, de la même manière que je n’existe pas pour plaire à quiconque a des yeux. Je ne suis moi-même pas d’accord avec tout le monde, il est donc normal que tout le monde ne soit pas d’accord avec moi.

10- C’est impossible d’aimer tout le monde

Comme on a des goûts en matière de nourriture, je trouve normal qu’on ait aussi des goûts en matière d’humains. Au début j’ai pensé que j’étais difficile, voire snob.

Que j’étais peut-être fermée d’esprit. Aujourd’hui je sais que c’est parce que j’attends des autres la même exigence humaine que je m’impose à moi-même. Au fond, ce n’est ni grave ni important d’être amie avec tout le monde.

11- Se remettre en question n’est pas un aveu de faiblesse, mais une preuve de courage

Parce que c’est l’une des choses les plus difficile à faire : se regarder en face et admettre qu’on a tort. Admettre qu’on se ment à soi-même, qu’on a peur d’être prise en faute, qu’il est indispensable de s’excuser, parfois, pour changer en mieux. J’ai appris les leçons les plus importantes de ma vie en ayant fait des erreurs.

12- Dormir sur un vrai bon matelas, ça change la vie

Ça fait partie des détails que je pensais anecdotiques. Mais je me suis offert un matelas de compétition, et ne plus sentir les ressorts qui m’entaillent les hanches quand je dors change la vie.

J’ai toujours aimé dormir, mais je n’ai jamais été particulièrement pressée d’aller me coucher. Aujourd’hui quand je m’allonge dans mon lit j’exulte de plaisir.

13- Tout questionner, c’est pas « se prendre la tête »

C’est choisir ce qu’on pense à la lumière d’une vraie réflexion. J’ai toujours été paniquée de vivre les choses « par défaut ». De ressentir les choses parce qu’on m’a appris à les ressentir de la sorte, aimer les choses qu’on m’a poussée à aimer, et agir comme on « doit » agir.

Et cette peur m’a poussée à réellement fouiller au fond de moi pour trouver ce que je pense et ce que je ressens vraiment. Je déconstruis quotidiennement ma manière de percevoir le monde, pour être sûre que rien de ce que je pense ne m’a été imposé, mais qu’il s’agit bien de mon propre avis.

14- La brioche vendéenne est la meilleure brioche qui existe

Avec du beurre de cacahuète ou avec du fromage. Après des années de recherches poussées, c’est elle qui a gagné mon cœur et mon palais.

15- Je n’ai aucun contrôle sur autrui

Je ne peux pas forcer quiconque à voir ou comprendre ma réalité. Je peux accompagner, expliquer, mais je ne peux pas forcer le changement.

Même quand je veux aider, je n’ai pas le pouvoir de faire réaliser à quiconque ce qu’il ou elle ne veut pas voir. Mais chaque chose vient en son temps, à son rythme, et après son parcours.

16- Et comme chaque chose vient après son parcours, je n’ai honte de rien de ce que j’ai été ou de ce que j’ai fait

Même si j’ai changé d’avis, ou de goût, si je n’étais pas passée par là où je suis passée, je ne serais pas qui je suis aujourd’hui. Je me regarde souvent avec beaucoup de compassion quand je regarde en arrière.

Ça ne sert à rien de s’en vouloir d’avoir pris telle ou telle décision, d’avoir fait telle ou telle chose qui ne nous correspond plus aujourd’hui. Ce qui importe c’est de comprendre qu’on se construit chaque jour, petit pas par petit pas.

17- Ma collection de baskets me sert plus le cœur que les pieds

J’accumule parce que j’ai peur de manquer, mais, en soi, je sais qu’une paire de basket suffit. Un jour je me pencherai sur ma « fomo » pour savoir ce que je cherche à combler.

Parce que j’ai autant peur de manquer de possessions terrestres que de passer à côté de relations exaltantes.

18- Je préfère regretter d’avoir fait quelque chose, qu’être frustrée d’être restée inactive

C’est également le syndrome du « on verra les conséquences quand y en aura ». Je vis en dehors de ma zone de confort, si bien que je ne sais même plus où elle se trouve. Et j’ai commencé avec juste un petit pas en dehors. Maintenant j’en suis bien loin.

19- Je suis capable de tout tant que je ne me pose pas moi-même de limites

Parce qu’à trop penser que je suis incapable, je ne me lance jamais dans rien. À me percevoir comme capable de tout, rien ne m’arrête.

20- Je ne suis pas trop bien pour l’échec

Je sais que je n’aurai jamais fini d’apprendre. Je n’ai plus peur de rater, et je n’ai surtout plus peur que rater mette au tapis mon amour-propre. Je suis faillible, grande nouvelle, je suis humaine.

Et souvent, sous prétexte de vouloir faire parfaitement, on ne fait rien, on attend, on peaufine, et on finit par ne plus oser se lancer. Mais échouer c’est réussir différemment. Sauf que pour réussir, il faut échouer, et pour échouer, il faut faire.

21- On fait sa place avec des « non » pas avec des « oui »

Si au début on se refuse à être exigeante avec ce qu’on accepte, on finit par s’assouplir. Il vaut mieux être fidèle à ce en quoi on croit profondément et refuser autant de fois que nécessaire, jusqu’à n’être approchée que pour ce qu’on a construit avec des convictions.

Quand j’ai commencé à être rémunérée par des marques sur Instagram, je sortais de trois années entières pendant lesquelles j’avais refusé tout partenariat parce que je n’étais approchée que par des marques qui n’étaient pas en phase avec les messages que je voulais véhiculer. Et pourtant on me proposait de l’argent.

Mais je préférais continuer à gagner ma vie autrement plutôt que de trahir ce en quoi je croyais profondément. Aujourd’hui je ne suis plus approchée que par des marques qui respectent ma ligne éditoriale, sinon je refuse les partenariats. Je ne me suis pas rendue rare ou inaccessible.

Mais aucune somme n’a autant de valeur émotionnelle que la confiance que je partage avec ma communauté, à qui je refuse de servir des messages oppressifs ou opportunistes.

Et il en va de même quand je vends une série que j’écris. Le fond, la sève de ce que je veux raconter, vaut tous les « non ». Je préfère ne pas sortir de série qu’en sortir une dont je n’assume pas le message tant il a été tordu dans tout les sens.

22- C’est pas parce que certaines choses sont invisibles ou pas prouvées par la science qu’elles n’existent pas

Je suis Bélier ascendant Cancer, signe lunaire Vierge. Je me sens en phase avec la lune et je suis presque sûre que l’univers m’entend.

Et si on me prend pour une folle, je dirai qu’on ne peut de toute façon pas se fier à ce qu’on voit, puisque que le sel ressemble à du sucre.

23- On change les choses en donnant l’exemple du monde dans lequel on veut vivre

Pas en critiquant l’exemple en place.

24- Les routines beauté, c’est des conneries.

Le temps que j’ai économisé à ne pas suivre 32 étapes matin et soir, je l’ai investi à aimer un peu plus ma nature. Et puis c’est quoi, ces histoires de tapoter ici, de faire pénétrer du nord au sud ici, de rajouter un sérum là.

Les routines beauté c’est comme la religion, si t’as pas la foi, ça marche pas. Également ça coûte cher.

25- On choisit de qui on s’entoure

Et du coup, on choisit aussi de qui on ne s’entoure pas.

26- L’honnêteté est la plus haute forme de respect de soi que je connais

Parce que, en disant sincèrement ce que je pense et ressens, je ne me retrouve plus coincée dans des situations qui ne me conviennent pas.

Et je ne parle pas de dire sans filtre ce que je pense lorsque mon opinion n’est pas requise, mais d’exprimer franchement ce que je veux, ne veux pas, et de poser mes limites. Évidemment, c’est aussi mieux pour les autres, mais c’est surtout un gain énorme de temps et d’orages.

27- Il ne faut (vraiment) pas faire subir aux autres ce que je ne veux pas subir

Chacun voit midi à sa porte, mais la fin ne justifie pas les moyens. Si je suis contre quelque chose, je m’oppose à ce que ça touche ma meilleure amie ou mon pire ennemi.

C’est ma manière d’être cohérente, et de développer mon empathie de manière non sélective.

28- Je change si vite, et c’est pour le mieux

J’aime évoluer, comme un Pokémon. Je suis sans arrêt curieuse de voir quelle sera ma prochaine réalisation, ma prochaine découverte sur moi-même. Ça rend ma vie excitante.

29- La vie est faite de phases

Quand je crois avoir atteint le secret de la paix, parfois, j’ai des coups de blues. Donc je m’accommode du fait que ma vie est faite de beaucoup de hauts et de quelques bas, et que finalement c’est ça qui rend la vie si riche.

30- Rien ne se passe jamais comme prévu

Parfois tu crois que tu vas fêter tes trente ans dans un joli jardin, avec les gens que tu aimes, mais il y a un truc plus gros que toi et plus gros que tout le monde qui bloque tes plans. Alors tu lâches prise, et tu comprends qu’on est quand même tout petit dans l’univers.

J’ai fait une sélection, parce que, des choses, j’en ai appris des milliers et oublié des tas, et j’en apprends encore chaque jour.

Cette pandémie m’a appris que j’aimais la richesse et la diversité de mon quotidien. C’est la diversité de péripéties qui me manque. Cet équilibre subtil entre bonnes idées et idées pas folles, entre gens chiants et personnes merveilleuses, et entre rendez-vous inutiles et réunions riches.

Même le pire de ma vie d’avant me manque un peu, parce qu’il servait à nourrir le meilleur. J’ai même un peu perdu l’envie de me faire des films, de m’inventer des romances, d’être curieuse, tellement j’ai rien pour alimenter mon imaginaire, vu qu’il ne m’arrive rien.

Voilà, j’ai trente ans. Maintenant je vais pouvoir être jeune, mais en sachant exactement comment en profiter.

Mais je me dis :

• qu’il me reste trente ans pour faire prospérer mes trente ans

• qu’il me reste trente ans de plus pour être impatiente des trente années suivantes

• qu’il me reste encore trente ans après pour être fière de ce que j’aurai fait de mes cent vingt ans.

 


Écoutez Laisse-moi kiffer, le podcast de recommandations culturelles de Madmoizelle.

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